Je voulais profiter de l’occasion pour parler de lui et des leçons qu’on peut tirer de sa très riche vie.
On ne peut pas me taxer d’être un admirateur béat de Microsoft. Mais derrière les entreprises, il y a des hommes et je trouve que pour le grand public Paul Allen est beaucoup trop méconnu.
Aujourd'hui, on se retrouve pour un NonStop où on découvre en avant-première le lab chez Altran. Les enjeux sont multiples pour ce géant de l'ingénierie.
Comment faire évoluer cette société vers l'innovation ?
Mais aussi, comment créer des opportunités pour les collaborateurs d'innover ?
Comment rester compétitif dans un monde qui évolue très vite ? En effet, toutes ces questions sont bien comprises par Arnaud Maury, Directeur Général France Altran et Corinne Jouarry, Directrice Innovation Groupe Altran. Je vous invite à me suivre dans cette visite du lab et à découvrir notre échange sur ces sujets.
Vous aimez les NonStop ? Vous souhaitez en voir plus souvent ? N'hésitez pas à me le dire !
Être autocritique vous empêche d’être bon.
Il y a des gens incapables de reconnaitre leurs erreurs et se remettre en cause. Mais, il y a un autre problème : ceux qui sont naturellement critiques envers eux-mêmes.
Il y a des gens (et c’est peut être votre cas) qui sont naturellement critiques envers eux-mêmes.
Qu’ils fassent bien ou mal ils se disent toujours « là tu aurais pu faire mieux, là ce n’est pas bon etc ».
Alors on peut se dire que c’est bien, qu’ils sont naturellement exigeants avec eux-mêmes.
Bien sur, des fois c’est vrai. Mais des fois c’est juste qu’ils sont pas du tout sur d’eux et assument mal ce qu’ils font.
Et, ça peut devenir un vrai problème.
Stop à l'expérience washing
Depuis plus de 10 ans chez Emakina, on clame que si « vous n’êtes pas une expérience vous n’êtes pas une marque ». Alors on pourrait être qu’heureux que désormais tout le monde mette l’expérience au centre de ses préoccupations. Mais, les gens font ce que j'appelle de l'expérience washing. Ils mettent le mot expérience à toutes les sauces.
Le problème c'est qu'à force d'en perler on ne sait plus de quoi on parle.
Alors, c’est quoi l’expérience ?
Vous ignorez tout de vos échecs.
Quels sont vos échecs ? Comment les avez vous géré ? Et bien, je pense qu’il est très difficile d’y apporter une vraie réponse.
C’est vrai des échecs on en a tous.
C'est devenu la grande question à la mode dans les conférences. À tel point qu'on a toujours un petit stock d’échecs à raconter pour faire plaisir. Ceux qui sont publiquement racontables et qu'on a bien marketé.
Beaucoup d’entrepreneurs disent que pour réussir il faut s’entourer de gens plus intelligents que soi…. Et on est tous d'accord là-dessus.
Mais, c’est quoi quelqu’un d’intelligent et comment le reconnaitre ?
Comment reconnaissez-vous les gens intelligents ?
Beaucoup de monde essaie de tester les connaissances. Si un personne répond bien à des questions techniques, complexes, c’est quelqu’un qui a des connaissances donc ce sera un bon collaborateur.
Jeff Bezos a récemment dit comment il procédait.
Tout le monde parle de disruption, essaie de trouver de nouveaux modèles pour vendre, garder les clients, s’organiser. Quelle est la différence entre des pratiques disruptives et des dirigeants disruptifs ?
Des modèles et des concepts pour faire les choses autrement, il y en a des tonnes.
Il n’y a qu’à regarder les vidéos Ted, lire les bons articles, les bouquins d’entrepreneurs.
Mais tout le monde s’extasie devant Google, Amazon, Jeff Bezos, Elon Musk, ce qu’ils disent et comment ils fonctionnent. Mais finalement, rien ne change dans les entreprises.
Alors, pourquoi ça coince ?
On vient de sortir l’édition de septembre de l’obsconso où on parle des influenceurs.
Et une conclusion s’impose : les marques ne savent pas du tout les utiliser.
https://www.obsconso.fr/
Depuis un peu plus de 10 ans, il y a notamment dans le monde du web, un vrai mouvement d’entrepreneuriat. Des jeunes diplômés montent leur boite plutôt que d’aller en entreprise. Des gens quittent leur job pour lancer un truc qu’ils ont imaginé.
C’est à tel point qu’à la limite, on stigmatise ceux qui préfèrent rester salariés.
Je vais vous dire pourquoi si à 50 ans vous n’avez pas monté votre boite, ce n'est pas grave.